Nous possédons collectivement une puissance d’exister indissociable des interactions avec le réel qui nous entoure. C’est la liberté-nécessité de Spinoza, pour qui « ce droit que définit la puissance de la multitude, on l’appelle généralement souveraineté. (…) S’il existe une souveraineté absolue, c’est bien celle que détient la multitude entière » (Le Traité Politique).
Nos sociétés sont amenées à trancher entre deux options :
– soit développer le sens de l’entraide et de la coopération,
– soit généraliser cet esprit égoïste et borné qui condamne à la haine et à la rancœur propres à une compétition généralisée et sans scrupules.
novembre 23rd, 2018 on 09:16
Nous possédons collectivement une puissance d’exister indissociable des interactions avec le réel qui nous entoure. C’est la liberté-nécessité de Spinoza, pour qui « ce droit que définit la puissance de la multitude, on l’appelle généralement souveraineté. (…) S’il existe une souveraineté absolue, c’est bien celle que détient la multitude entière » (Le Traité Politique).
Nos sociétés sont amenées à trancher entre deux options :
– soit développer le sens de l’entraide et de la coopération,
– soit généraliser cet esprit égoïste et borné qui condamne à la haine et à la rancœur propres à une compétition généralisée et sans scrupules.
Longue vie donc au CesaÏ.
novembre 15th, 2018 on 02:10
Vive cesaï et longue vie a toi cesaï